Les assureurs préviennent déjà que les tarifs vont continuer de grimper en 2026, et la principale raison est la multiplication des catast...
Les assureurs préviennent déjà que les tarifs vont continuer de grimper en 2026, et la principale raison est la multiplication des catastrophes climatiques. Les tempêtes, inondations, sécheresses ou incendies deviennent plus fréquents et plus destructeurs, ce qui entraîne des indemnisations de plus en plus coûteuses.
Concrètement :
Assurance habitation : les primes vont augmenter fortement, surtout dans les zones exposées aux risques naturels (inondations, sécheresses, littoral). Dans certains cas, les assureurs pourraient relever les franchises ou limiter certaines garanties.
Assurance automobile : les véhicules endommagés par la grêle, les crues ou les chutes d’arbres entraînent déjà une hausse des indemnisations, ce qui se traduit par des primes plus élevées.
Entreprises et professionnels : les assurances multirisques vont coûter plus cher, car les bâtiments, stocks et équipements sont plus exposés aux aléas climatiques.
Inégalités territoriales : certaines régions à risque élevé pourraient devenir très difficiles, voire impossibles à assurer à un prix raisonnable.
À cela s’ajoutent l’inflation des coûts de réparation (matériaux, main-d’œuvre) et la revalorisation des cotisations spécifiques aux catastrophes naturelles.
En résumé, 2026 marquera une nouvelle étape dans la hausse des primes d’assurance, et les assurés devront s’attendre à payer plus cher, surtout ceux vivant ou travaillant dans des zones vulnérables aux aléas climatiques.
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